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12 juin 2010 6 12 /06 /juin /2010 21:14
Quelque 200 communistes dont les députés Patrick Braouezec et Jacqueline Fraysse ou les figures Lucien Sève et Roger Martelli, ont officialisé hier leur départ du PCF, à une semaine du congrès d'étape du Parti (18-20 juin) à La Défense (Hauts-de-Seine). Alors que le PCF poursuit sa démarche avec le Parti de gauche au sein du Front de gauche (FG) qui a acté mercredi l'idée d'un « programme partagé » pour la présidentielle 2012, ces communistes « refondateurs » déplorent que le FG ne soit qu'un « tête-à-tête ». Eux se définissent comme des « chercheurs de formes nouvelles de pratique politique », a souligné Jacqueline Fraysse. Le PCF « est contreproductif » et le FG a été « créé petit-bras », selon la députée des Hauts-de-Seine. Pour l'historien Roger Martelli, qui n'attend « rien » du congrès, « il n'y a plus de possibilité (de changement) à l'intérieur du PCF ». Militant de la première heure, Lucien Atencia, toujours au PCF, a regretté le départ de ses « amis », « un échec pour tout le monde ». « Le PCF perd des intelligences et on peut se poser la question de celles qui restent », leur a-t-il dit. Pierre Laurent, qui succédera à Marie-George Buffet la semaine prochaine a déclaré hier à leur attention : « Votre place est parmi nous pour réussir ces changements. »
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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 17:25

 Le Groupe socialiste, radical et citoyen à l’Assemblée nationale a défendu, le jeudi 25 mars, une proposition de loi visant à accorder le droit de vote et d’éligibilité aux élections municipales aux étrangers non ressortissants de l’Union européenne résidant en France.L’intégration des étrangers en situation régulière répond à la fois à une préoccupation de cohésion nationale et aux exigences républicaines d’égalité et de fraternité. Ceux-ci doivent être pleinement reconnus en tant qu’acteurs à part entière de la vie de la cité. Il est légitime de consacrer leur présence dans la sphère politique en leur accordant le droit de vote et d’éligibilité aux élections municipales...

... Ce droit politique est porté depuis longtemps par les socialistes. Aux engagements politiques ont succédé des actes forts qui n’ont jamais pu aboutir, du fait de l’opposition du Séant en mai 2000, ou encore par le refus obstiné de la majorité, au printemps et à l’été 2008, lors des débats sur la réforme constitutionnelle. En effet, ce nouveau droit avait été présenté par les socialistes comme l’une des conditions de leur vote favorable.

Aujourd’hui, les esprits semblent avoir progressé dans la majorité. A plusieurs reprises, Nicolas Sarkozy a considéré cette proposition comme « un facteur d’intégration ». Brice Hortefeux, actuel Ministre de l’Intérieur, a également soutenu cette idée en 2006, voyant dans ce changement des « mesures simples » et « justes ». L’argument selon lequel « les Français ne sont pas prêts » est démenti par les sondages, puisque 55% d’entre eux sont favorables au droit de vote des étrangers aux élections locales.

Aujourd’hui, une majorité est donc possible au Parlement. Nous mettons la droite face à ses responsabilités en déposant à nouveau cette proposition de loi, déjà adoptée il y a 10 ans par l’Assemblée et enterrée par la majorité de droite du Sénat.

Toutes les conditions sont réunies pour qu’ensemble, droite et gauche fassent ce pas décisif pour la citoyenneté, la démocratie et l’intégration des étrangers sur notre territoire.

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28 mars 2010 7 28 /03 /mars /2010 13:01

PARIS - Avec moitié moins d'élus aux régionales de mars par rapport à 2004, le PCF se trouve dans une zone de turbulences, confronté au départ de figures du Parti comme le refondateur Patrick Braouezec, et aux ambitions de Jean-Luc Mélenchon (PG), un partenaire devenu encombrant pour 2012.

 

Xavier Bertrand, Jean-Luc Mélenchon, et Marielle de Sarnez sur le plateau de TF1 à Boulogne-Billancourt le 14 mars 2010.

Premier enseignement du Conseil national (CN) du PCF qui se tient jusqu'à dimanche place du Colonel Fabien : le PCF qui s'était allié dans 17 régions (6,95%) au Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon et à la Gauche unitaire de Christian Picquet (ex-NPA), sous la bannière du Front de gauche (FG) n'a obtenu que 95 conseillers régionaux, soit 90 de moins qu'en 2004 (185 sortants).

Ce choix "comportait une part de défi politique" mais "c'est un pari globalement réussi", assure Pierre Laurent, numéro deux du PCF, soulignant que le FG "s'ancre dans le paysage politique comme un rassemblement combatif qui a permis d'amplifier la défaite de la droite".

"Nous savions que nous prenions un risque", reconnaît Marie-George Buffet qui aurait "souhaité plus d'élus". Mais c'était "un risque nécessaire", dit-elle, désireuse de poursuivre "le rassemblement à gauche sur la base d'un projet audacieux".

Pour la patronne du PCF, il faut désormais "franchir une nouvelle étape" dans la construction du Front de gauche pour "s'élargir et trouver de nouvelles formes dans les fronts sociaux et les échéances électorales".

La secrétaire nationale du PCF Marie-George Buffet prononce un discours, le 29 janvier 2010 à Montpellier.

L'idée est d'"aller vers un front social et intellectuel d'actions et de projet" pour un "Front populaire du XXIe siècle", renchérit M. Laurent, amené à succéder à Mme Buffet au congrès du Parti (18-20 juin). Première étape de ce Front : la "mobilisation générale" sur les retraites.

Mais au PCF, de nombreuses voix se lèvent pour critiquer "la logique de repli" de la direction et "la mise à l’écart d’un grand nombre de militants", notamment lors des régionales où les "refondateurs" s'estiment lésés.

Ainsi, le député de Seine-Saint-Denis, Patrick Braouezec, l'une des figures de ce courant qui aurait souhaité mener la liste FG en Ile-de-France à la place de M. Laurent, a annoncé cette semaine qu'il quittait le Parti, tout comme Pierre Zarka, ex-directeur de L'Humanité et d'autres élus.

Une vingtaine de personnalités pourrait démissionner de façon collective en mai, juste avant le congrès, pour peut-être rejoindre la Fédération pour une alternative sociale et écologique (Fase) de Clémentine Autain.

"C'est un départ à contretemps" dans un "moment d'ancrage de la stratégie de rassemblement" et alors que le FG apparaît comme "un des trois piliers d'une victoire possible" en 2012, déplore Patrice Bessac, de la direction du Parti.

Autre épine dans le pied du PCF, la présidentielle 2012 et les ambitions de Jean-Luc Mélenchon après les 1,93% de Mme Buffet en 2007.

Face au "paquet cantonales-présidentielle-législatives" proposé par le PG pour des candidatures communes, Mme Buffet estime que "l'idée d'un paquet ficelé sur les deux ans à venir" enverrait un mauvais message "disant +on reste entre nous+", or il faut "créer une dynamique" et "se donner de l'appétit" en laissant les portes "grandes ouvertes".

"Le débat ne doit pas démarrer par les questions de candidature" mais "par le projet", insiste M. Laurent.

Dénonçant la baisse du nombre d'élus régionaux après "la perte de 30 villes en 2001", et "cerise sur le gâteau, la promotion de Mélenchon", le député PCF orthodoxe du Rhône André Gerin, estime, lui, que "l'élection présidentielle, en 2012, sera la dernière chance pour l'avenir du PCF".

 

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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 07:29
Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée, le 13 janvier 2009 à Paris

L'Elysée a rejeté dimanche la demande du PS d'une enquête sur les sondages commandés par la présidence de la République et épinglés par la Cour des comptes, tandis que la polémique s'est centrée sur le cabinet de conseil, commanditaire des études.

"On commande des sondages, si des journaux veulent acheter les mêmes, nous, on n'y peut rien!", et il n'y a "aucune nécessité" d'enquête comme l'a réclamé vendredi le Parti socialiste, a affirmé dimanche le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant.

A l'appui de sa demande, le PS avait dénoncé "une scandaleuse collusion entre le pouvoir et certains médias".

Depuis le déclenchement de cette polémique vendredi sur sa pratique de commande de sondages, l'Elysée n'avait pas dit un mot.

Dimanche, M. Guéant a rejeté toute accusation de paiement par l'Elysée de sondages publiés dans la presse. "L'Elysée commande parfois des sondages et il se trouve que des journaux peuvent, dans le même temps, commander les mêmes. Nous, ce qui nous intéresse dans les sondages, ce n'est pas du tout les éléments bruts (...), c'est d'avoir tous les fichiers détaillés des sondages", a-t-il expliqué.

Dans son rapport sur le budget 2008 de l'Elysée, la Cour des comptes s'est étonnée que le "Politoscope" réalisé par OpinionWay pour Le Figaro et LCI ait été facturé à l'Elysée par un cabinet de conseil.

Selon un acteur du secteur interrogé par l'AFP, ce cabinet est dirigé par Patrick Buisson, ancien journaliste à "Minute" et LCI, actuel président de la chaîne Histoire et proche de M. Sarkozy.

La Cour a épinglé également pour les mêmes raisons une série de 15 études d'opinion publiées dans la presse, et facturées également à l'Elysée par le cabinet de conseil. Mais, là, la Cour n'a pas révélé quels instituts de sondages avaient réalisé ces études, ni quels médias les avaient commandées.

Le président d'OpinionWay, Hugues Cazenave, avait assuré vendredi à l'AFP que son institut n'avait pas réalisé ces 15 études, dont Delphine Batho, porte-parole de l'ex-candidate PS à la présidentielle a demandé la publication.

Si la polémique était centrée vendredi sur OpinionWay et Le Figaro, qui ont tous deux dit être "prêts" à montrer les factures, elle s'est déplacée sensiblement dimanche sur le cabinet de conseil de M. Buisson.

Dans un communiqué intitulé "L'Elysée essaie d'étouffer l'affaire des sondages OpinionWay et du cabinet Buisson", Mme Batho a annoncé qu'elle allait demander la création d'une "commission d'enquête" sur les sondages "financés par l'Elysée ou par l'intermédiaire de son cabinet conseil".

La Cour des comptes épingle en effet la convention signée le 1er juin 2007 entre l'Elysée et ce cabinet --dont ni le nom ni celui de son gérant ne sont mentionnés-- pour un coût "avoisinant 1,5 million d'euros" sous la forme de "près de 130 factures".

Pour Mme Batho, "il y a désormais trois versions différentes des faits. Celle d'OpinionWay, celle d'Etienne Mougeotte (directeur des rédactions du Figaro, ndlr) et maintenant celle de Claude Guéant".

"Tout cela confirme l'embarras des intéressés, mais aussi l'existence d'un système de coproduction et de connivence dont la finalité n'est pas l'étude de l'opinion, mais la maîtrise du débat politique dont les termes sont pipés", a-t-elle accusé.

Durant la campagne présidentielle, M. Buisson, qui conseillait M. Sarkozy, était dans le collimateur de Ségolène Royal et de François Bayrou, président du MoDem. Ils estimaient que ce spécialiste des sondages oeuvrait pour Nicolas Sarkozy avec l'aide d'OpinionWay.

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6 juillet 2009 1 06 /07 /juillet /2009 19:18
Sarkozy enrôle Rocard et Juppé pour plancher sur l'emprunt
Montage de photos récentes des anciens Premiers ministres Alain Juppé et Michel Rocard

Nicolas Sarkozy a nommé lundi les anciens Premiers ministres Michel Rocard et Alain Juppé, figures issues des deux camps du paysage politique, à la tête de la commission chargée de plancher sur les "priorités" qui seront financées par l'emprunt national.

Conformément au voeu du chef de l'Etat, qui devait recevoir les deux hommes dans la soirée, la commission qu'ils co-présideront devra formuler "avant le 1er novembre 2009 des propositions sur le choix des priorités que le gouvernement arrêtera ensuite", a annoncé l'Elysée dans un communiqué.

"C'est un grand changement en France : deux hommes de talent, Alain Juppé et Michel Rocard, l'un de droite, Premier ministre de Jacques Chirac, l'autre de gauche, Premier ministre de François Mitterrand, ont accepté à ma demande de présider une commission de très haut niveau pour réfléchir à 20 ans quels sont les secteurs stratégiques dans lesquels la France doit investir", s'est félicité le chef de l'Etat.

Electron libre de la gauche française, l'ancien hôte de Matignon sous François Mitterrand (de 1988 à 1991), âgé de 78 ans, avait déjà opéré ces derniers mois un rapprochement avec l'exécutif.

Il a été nommé ambassadeur chargé des négociations internationales sur les pôles Arctique et Antarctique et président de la "Conférence des experts" sur la taxe carbonne. Interrogé lundi par l'AFP au téléphone sur cette nouvelle mission, il s'est contenté de déclarer : "je fais mon boulot de fonctionnaire quand on me le demande".

Adepte de l'intervention de l'Etat et de la régulation face aux insuffisances du marché, M. Rocard avait très tôt salué le "culot" et le "courage de Nicolas Sarkozy dans sa gestion de la crise, pour être allé "chercher des outils" de lutte "en dehors de l'arsenal monétariste".

Et quelques heures après sa nomination, dans une tribune au Monde (daté de mardi), il estimait que la crise donne "tragiquement raison" à la social-démocratie, qui "explique depuis un demi-siècle que les marchés ne sont pas autoéquilibrants, qu'il faut réguler économie et finance, et lutter fiscalement contre les inégalités".

Balayant l'idée d'une relance "exclusivement (par) la consommation", il souscrit à celle que "c'est par l'investissement que le cycle vertueux doit être réamorcé", évoquant notamment les secteurs des "énergies renouvelables, les techniques et produits bio".

M. Rocard devra faire oeuvre commune avec l'un de ses successeurs à Matignon entre 1995 et 1997, Alain Juppé, que des rumeurs donnaient récemment à nouveau au gouvernement et qui ne s'est jamais montré emballé par le principe de l'ouverture à gauche.

"Quand on a, dans ses propres troupes, des gens qui sont parfaitement compétents (...) on n'est pas obligé, par souci d'améliorer le décor, d'aller chercher ailleurs", avait-il jugé.

Ancien patron du RPR, M. Juppé, 63 ans, a été un éphémère membre du premier gouvernement de François Fillon à la tête du super-ministère de l'Ecologie (mai-juin 2007), qu'il a quitté après avoir perdu la députation en Gironde.

Annoncé le 22 juin par Nicolas Sarkozy à Versailles, le grand emprunt national sur lequel les deux hommes vont devoir plancher sera lancé début 2010. Une grande consultation a commencé qui s'achèvera fin octobre.

C'est ensuite le Parlement qui prendra la main pour fixer des priorités et les modalités de l'emprunt, dont François Fillon a tracé les contours en assurant qu'il ne s'agirait pas d'un "second plan de relance" mais d'une manne pour des investissements sur le long terme, dans des domaines "porteurs de croissance et d'emploi".

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1 juillet 2009 3 01 /07 /juillet /2009 09:29

L'Assemblée nationale a adopté mardi, dans un climat houleux, un nouvel arsenal contre la violence en bandes et à l'école, le gouvernement ayant finalemenL'Assemblée vote un nouvel arsenal contre les violences en bandes et à l'écolet renoncé à y ajouter la fouille des cartables, décriée par la communauté éducative.

Rédigée sur fond de hausse des chiffres de la délinquance par Christian Estrosi, proche de Nicolas Sarkozy entré au gouvernement lors du récent remaniement, la proposition de loi crée le délit de participation à une bande violente, passible de trois ans de prison et de 45.000 euros d'amende.

Le texte, très peu modifié en séance publique -et finalement défendu par un nouveau rapporteur, Eric Ciotti, et un nouveau ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie- étend par ailleurs aux personnes non armées participant à un attroupement violent la sanction prévue celles portant des armes.

Une circonstance aggravante a été créée lorsque l'auteur de violences sur les personnes ou de dégradations de biens dissimule volontairement son visage, par exemple en portant une cagoule - dont le port lors de manifestations a par ailleurs été interdit la semaine dernière par décret.

La gauche s'est montrée sceptique sur l'efficacité de cet arsenal.

Le deuxième volet du dispositif, discuté en l'absence de Luc Chatel (Education), met en oeuvre des annonces faites par Nicolas Sarkozy, en mars, à Gagny après qu'une vingtaine de jeunes gens, cagoulés et armés, eurent envahi un lycée.

Il crée notamment le délit d'intrusion ou de "maintien", sans autorisation, dans les établissements scolaires (un an de prison).

"Un parent d'élève, des lycéens qui organisent une assemblée générale peuvent être visés par cette sanction", s'est inquiétée Delphine Batho (PS), selon laquelle "c'est le mouvement social qui est visé". "Fantasme", a répondu M. Ciotti.

L'introduction d'armes par des personnes extérieures ou des élèves est également sanctionnée.

Mais la mesure la plus controversée, la fouille des cartables, a finalement été abandonnée par le gouvernement.

"Que sont devenues les annonces de Xavier Darcos ?", a interrogé Mme Batho (PS), en ironisant que "le festival d'annonces, le concours Lépine de mesures spectaculaires comme les brigades volantes et la fouille des cartables" fait par l'ex-ministre de l'Education.

Elle a fait part des "réserves émises par Michèle Alliot-Marie", alors ministre de l'Intérieur sur la fouille de cartable voulue par M. Darcos, alors ministre de l'Education. "Je voudrais que le gouvernement annonce qu'il a définitivement renoncé à ces mesures", a demandé, en vain, Mme Batho.

Avant le début de la discussion, M. Ciotti avait émis l'idée que la fouille pourrait être décidée par voie réglementaire. "Quand on prétend +sanctuariser+ l'école, on commence par y maintenir les surveillants", a jugé Sandrine Mazetier (PS) en accusant le gouvernement de faire "du vent" mais "pas des actes".

Mais aucun des amendements PS pour renforcer la présence de personnels surveillants n'a été adopté.

A la dernière minute, le gouvernement a fait supprimer, par la majorité une disposition ajoutée par Christian Vanneste (UMP), soutenue par le PS, pour substituer, pour un prévenu arrêté pour participation à une bande violente mais n'ayant jamais été condamné, une peine de travail d'intérêt général à la prison.

Pour protester, la gauche a quitté l'hémicycle au cri de "Parlement fantoche!", et seuls l'UMP et le Nouveau Centre ont voté le texte approuvé par par seulement 43 voix (dont un certain nombre de délégations de vote) contre 0.

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4 mars 2009 3 04 /03 /mars /2009 09:48







L
E Conseil Nationl du PS a entériné par une très large majorité les listes pour les élections européennes : 189 voix pour - 14 contre - 18 abstentions.
Ces listes seront soumises au vote des militants le 12 mars prochain.

Un texte plate-forme, socle de départ du programme des socialistes pour ces élections intitulé : "DONNER UNE NOUVELLE DIRECTION A L'EUROPE" a également été présenté après avoir été voté par le bureau national.



LISTE DES ELECTIONS EUROPEENNES POUR L'ILE DE FRANCE :
liste-IDF-1europeenne-.txt liste-IDF-1europeenne-.txt

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7 janvier 2009 3 07 /01 /janvier /2009 23:03

Suite à la démission de Mr Toussaint de nouvelles élections sont organisées le 25 janvier et le 1er février 2009.
Je serais donc la représentante du parti socialiste en étant candidate titulaire mon suppléant étant Raymond Albero.
J'espère que nombreux viendront voter.

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1 juin 2008 7 01 /06 /juin /2008 17:17

Monsieur mégret quitte la vie politique française, il trouve qu'il s'est trop fait attaqué et qu'il a tout tenté pour lutter pour le bien de la nation, jusque la tout va bien.
Mais ce dissident du FN qui a créer le MNR pour mieux s'exprimer à l'extrème droite va vivre à l'étranger pour travailler chez des étrangers pour (dit-il) la france, dans une entreprise française du BTP (Est -ce Mr SARKOZY qui a signé le contrat?).
Peut être que l'hospitalité du pays d'acceuil ou il se rendra lui ouvrira un peu les yeux. Quelle ironie.....  

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30 mai 2008 5 30 /05 /mai /2008 11:59


Mais qu'est ce que le "Grand Paris" ou Paris métropole?
Pour ceux qui ne le savent pas  c'est le regroupement de  Paris et de ses trois département voisins. dit comme ça c'est très simple.

Mais une question se pose dans les débats sur ce sujet  :
-Comment sera élu le futur président de cette entité, par ses pairs ou au suffrage direct ?
Des sénateurs opteraient pour une élection par les parisiens et les franciliens ce qui  serait logique puisqu'ils sont directement concerné.
Avec ce président serait élu 120 conseillers, en s'appuyant les périmètres des circonscriptions législatives (suggestion faite par Phillipe Dallier).
Pour d'autres sénateurs ils seraient préférable d' opter pour une élection indirecte (comme un président du conseil général ou régional).  

*Notre sénateur Serge Lagauche est contre une superprésidence il prone pour le développement de l'Ile de france pour permettre à Paris de mieux jouer son rôle de capital internationale, en outre une super structure englobant paris et phagocytant les départements de la petite couronne, ne pourra répondre à cet objectif si elle écarte la grande couronne et ce quelque soit la gouvernance.
Il faut privilègier la coopération entre les collectivités qui connaissent le mieux les besoins des citoyens, sous l'impulsion de la région et avec l'aide de l'état pour les grande réalisations, si on peut y croire...

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